jeudi 19 novembre 2009

France D'Amour en mode «damage control»



Pas facile pour France D'Amour de lancer un nouvel album (25 novembre à l'Excentris) quand la secte dont elle fait partie est sous les feux de la rampe pour les mauvaises raisons. Il faut dire que La Presse n'a pas aidé non plus...


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(Pratique les crédits d'impôt et les subventions gouvernementales aux artistes pour produire des albums et des spectacles. Ça permet à France de se payer plus de scientologie. C'est la secte qui doit être contente. Lâche pas France! T'es presque rendue à OT8!)


Heureusement, Alain Martineau, vice-président produits de Distribution Select veille au grain et lui écrit un communiqué de presse dans La Presse Canadienne (!) pour mousser les ventes et tenter d'éviter un flop. Extraits:

D'abord "Le Présent", une sorte de chanson hommage à ses fidèles, interprétée en duo avec Clément Jacques.

"Cette chanson est venue à force de parler du concept de l'album(...)


Les fidèles... scientologues? «Le Présent», ça fait référence au terme scientologue «present time», non? (By present time we mean the time that is now. It is the instant which is now and the successive instants of now.)

«L'autre nouvelle chanson est "Pourrons-nous jamais être amis?", interprétée avec Steve Veilleux du groupe Kaïn, où l'on parle de réconciliation. "Je me posais la question. Pourrions-nous redevenir des amis avec tout ce qui s'est fait ou se dit, comme dans un conflit guerrier, au Moyen-Orient ou en Afghanistan, a précisé la chanteuse. C'était mon point de départ. Imagine quand un couple se sépare et qu'il tente de redevenir des amis après coup. Quand je la chante, les gens comprennent le message.»

Non, France. La guerre?! Là t'essaie de nous bullshiter. Ta chanson fait référence à la déconnexion en scientologie. Tiens, Aaron Saxton est un exemple d'honnêteté. Il n'est pas trop tard.


Nous avons hâte de voir si les journalistes vont oser lui poser des questions sur sa secte. C'est même une invitation à mettre vos culottes, comme l'a fait Jean-Yves Girard.

Nous souhaitons à France des salles pleines, de quitter la scientologie et de ne pas finir dans les boules à mites comme Lucien Francoeur, le «poète-rockeur» adorateur de la secte japonaise Soka Gakkai (SGI).


P.S. Anonymous saluent en passant le fidèle collaborateur de France D'Amour, Guy Tourville, lui aussi scientologue.

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